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J’ai accepté de partager ma chambre, ce qui m’a valu l’éloge sur les ronflements. Bonne nouvelle, je ronfle.
[vc_column_text spacing_heading= » » spacing_heading_tab= » » spacing_heading_mobile= » »]Désolée pour la gêne occasionnée auprès des autres dormeurs qui, je l’imagine bien, ne ronflent jamais. Pointée du doigt, je considère toutefois, qu’il est important que je sache ce qu’il m’arrive. Pourquoi je ronfle, comment, depuis quand et j’en passe. Ces indicateurs peuvent m’amener à penser que je pourrais être malade ou même bientôt. Quoi qu’il en soit, je veux et dois savoir au moins pourquoi je ronfle. Ensuite je résoudrai au mieux le problème de décibels que les autres me souffrent par une consultation probable chez mon médecin
T3 Pourquoi ronfle-t’on ?
Il existe de nombreuses raisons aux ronflements. De façon générale, ronfler est banal et cela n’inquiète personne. En outre, cela devient plus sérieux dans certaines situations moins fréquentes mais à ne pas négliger. Les causes et sources sont nombreuses et variées.
L’hérédité. On hériterait d’une ronchopathie héréditaire. Aussi banalement, tout comme on nous transmettrait aussi naturellement un mimétisme par la génétique.
L’âge. Les tissus sont plus distendus en vieillissant, ceux qui vont de la bouche au larynx aussi, alors cela favorise les bruits en expirant tout comme les vibrations. On dénombre 40% des plus de 50 ans qui ronflent régulièrement et plus généralement ce sont les hommes). Ronfler devient presque techniquement musical en prenant de l’âge. 😉
L’alcool et les médicaments. La consommation d’alcool, régulière ou même ponctuelle, ainsi que de médicaments peuvent provoquer le ronflement et encore plus certainement, s’ils sont pris en même temps. Leurs effets, soit excitants soit calmants, jouent un rôle très net sur le larynx et les mandibules entre autres, alors à la respiration, les bruits s’entendent et les vibrations viennent renforcer la sonorité.
Les voies respiratoires rétrécies, en effet, cela a un impact particulièrement au niveau du pharynx. Dans cette situation, les parois du pharynx, du palais et de la luette vont vibrer et générer le bruit alternativement avec l’inspiration et la respiration. Le ronfleur lui-même vit un sommeil de mauvaise qualité et récupère moins bien, d’où l’impression d’être fatigué au réveil.
Un autre cas assez connu est la mauvaise respiration par le nez, en raison d’une souffrance dûe à une déviation de sa cloison. Cette malformation est peut être dûe à une malformation ou suite à un coup, elle est plutôt considérée bénigne et souvent opérable.
Rhumes, allergies diverses et autres désagréments de l’ordre de l’oto-rhino-laryngologie subis à longueur d’année, gênent l’endormissement, la respiration et la récupération de façon chronique, d’où les ronflements qui en résultent par manque de repos et de sommeil de qualité.
Des amygdales enflées peuvent être en cause. Tout simplement, les amygdales jouent un rôle considérable dans la défense de l’organisme contre diverses bactéries ou virus, car elles fabriquent des anticorps pour lutter contre la prolifération microbienne.
Une langue un peu ou trop charnue peut être en cause. Cela peut être morphologique et ne présenter aucun risque pour respirer ou alors une macroglossie, augmentation de la langue qui peut aller jusqu’à obstruer les voies respiratoires et donc, empêcher le passage de l’air. .
En période de stress, on peut être amené à ronfler durant la récupération car le sommeil est perturbé, générant une fatigue plus aigüe et une somnolence diurne.
Si ces conseils ne fonctionnent pas, sachez que d’autres méthodes existent et qui sont d’ordre médical. Il suffit alors de consulter son médecin ou un spécialiste.
