La définition du sommeil

[vc_row][

Le sommeil – définition

Le sommeil est une phase de récupération nécessaire au corps humain. Il est l’interruption de l’activité durant laquelle nous sommes endormis. Laquelle laisse place à une récupération silencieuse, immobile et dite passive car le métabolisme tourne au ralenti. Le point de non-vigilance est franchi et nous sommes complètement relâchés durant cette absence. Certains estiment que dormir est une « petite mort », une absence parce que l’on considère que rien ne se passe. Or, cet état physiologique est d’une part, réversible puisque temporaire et d’autre part, l’activité en interne est forte car il fait fonctionner moultes connections depuis notre cerveau jusqu’à nos orteils.

Le sommeil est nécessaire et essentiel. Il a un sens vital évident, d’autant que nous lui consacrons environ un tiers de notre vie. Pour bien comprendre que notre santé passe entre autres par lui, il est important de savoir ce qu’il signifie, comment il se présente, comment nous allons l’utiliser pour vivre au quotidien et finalement comment bien dormir. En bref, détenir les tenants et aboutissants devrait nous permettre de nous l’approprier pour ne pas le confondre avec une contrainte biologique forcée et aux fins de ne plus le malmener.

A quoi sert le sommeil ?

  • Il sert bien évidemment à récupérer, tant physiquement qu’intellectuellement.
    Pendant que nous dormons, notre corps dans son entièreté fonctionne au ralenti alors nos cellules se régénèrent à leur rythme. Le rythme cardiaque et la tension artérielle baissent. Un repos suffisant, doux et de qualité contribue à une bonne santé.
  • Depuis la phase d’endormissement, le sommeil sert à régénérer.
    Il permet de « nettoyer » les déchets et protéines qui s’accumulent quotidiennement au niveau du cerveau. Et ceci afin de lutter contre l’anxiété, la dépression et non des moindres la maladie d’Alzheimer.
  • Dormir est véritablement d’une importance capitale pour notre équilibre.
    Nous nous mettons en danger en ne dormant pas ou pas assez. C’est-à-dire que nous manquons alors par exemple, de vigilance. D’où le risque d’accidents variés qu’ils soient sur la route ou domestiques, faisant courir des dangers aux autres également. Aussi, dormir mal ou peu joue sur l’hypertension, les troubles cardiovasculaires, les accidents vasculaires cérébraux. De plus, il influe sur les troubles du métabolisme comme le diabète, la dépression. Mais aussi, il favorise les cancers et particulièrement du sein et de la prostate.
  • Le sommeil sert à vivre bien, il faut lui accorder bienveillance ainsi qu’à soi-même.

Le sommeil est propre à chacun

Dormir est propre à chacun et en même temps un besoin commun universel tant il nous est familier comme respirer. Nous ne sommes pas tous égaux face au temps où nous dormons. Nous n’avons pas tous besoin du même temps d’endormissement pour être en forme optimum au cours de la journée. Il est tout d’abord important de bien se connaître en déterminant son temps de sommeil idéal et de le respecter.[vc_row][vc_column width= »1/2″]

Les cycles du sommeil

[vc_column_text spacing_heading= » » spacing_heading_tab= » » spacing_heading_mobile= » »]Le sommeil se compose de cycles qui se succèdent pendant que l’on dort. Il y a 4 cycles principaux qui se mettent en place à partir de l’endormissement, moment où le relâchement est atteint. Dans chacun de ces cycles, il y a deux phases, le sommeil lent et paradoxal. Le schéma ci-dessous, permettra de mieux vous représenter le fonctionnement des cycles du sommeil. Donc tout d’abord, votre repos est cyclique et l’endormissement lent. On le dit paradoxal et c’est durant cet état que notre imagination est débordante. Durant tous ces différents cycles, beaucoup de choses vont se passer chez l’être humain, depuis sa tête jusqu’à ses pieds. Sans compter le travail des cellules nerveuses.

Les cycles se succèdent au cours de la nuit et ils varient en nombre de 3 à 5. C’est-à-dire que le sommeil lent profond est très présent en début de nuit. Et se fait plus rare au fil des heures jusqu’à disparaître au réveil. Tandis que le paradoxal est plutôt furtif au début de la nuit. Il va prendre plus de place et de temps dans les cycles de sommeil suivants, de façon croissante.[/[vc_column width= »1/2″][agni_image img_url= »4602″]Source du Guide : Institut National du sommeil et de la vigilance[vc_row][

Posts from our blog